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C’est ici au château de Castelcerf que vous devez faire votre demande au gouverneur pour acquérir la citoyenneté.

Elendill, à la recherche d’une cité pour l’abriter, se dirigea vers Castelcerf, capitale des six duchés. Des qu’il fut arrivé en à Castelcerf Elendill pus remarquer la beauté particulière de cette ville côtière, proche de la mer se situe Bourg de Castelcerf, une ville ancienne ou l’économie est orienté sur la pêche, en haut se dresse sur les falaise, le château de Castelcef, demeure .il se dirigea au château. Il entrait dans le hall d’entrée et s’adressa au Gouverneur :

_ Bonjours à toi, je me nomme Seigneur Elendill. Et j’exige que l’on me procure une chambre à la hauteur de mon estime *montre sa bourse remplit d’or*.

Le gouverneur regarda Elendill dans les yeux et dit en ricanant, dans sa barbe :

Vous croyez que vous aller m’impressionner avec votre éloquence *baisse les yeux et regarde la bourse* et reprend : Sire Elendill nous vous aménagions tout de suite une chambre.

Le gouverneur alla donner quelque ordre a un coursier qui attendais dans le coin de son bureau. Ce dernier partit en courant dans le labyrinthe de couloire.

Un homme à la stature moyenne se dirigea vers le portail du chateau, sur le petit chemin qui serpentait en montant jusqu'au pied des imense murailles noire de CastelCerf. Il venait du bourg, menait un cheval (Suie) par la bride et marchait sous la pluie de front avec un loup gris.
FitzChevalerie Loinvoyant revenait chez lui, le batard au vif, l'héritier illégitime du trone des Six-Duchés, l'homme lige du roi Subtil, celui la même qui appliquait la justice invisible du roi en y sacrifiant tout de lui, sa vie, son ame, Molly,...
Bien des années avaient passés, et il avait beaucoup changé. Il ne se passait pas un jour sans qu'il ne repense à son oncle, Vérité le Dragon, qui devait dormir paisiblement aux cotés des autres Anciens quelques part au dela du royaume des montagnes. L'Art irradiait de lui comme elle affluait autour de son défunt père Chevalerie lorqu'il était jeune. Les gardes postés au grilles avaient l'impression que les goutes de pluie s'évaporaient immédiatement au contatc de sa peau.
Il s'arreta devant eux, et l'un d'eux l'interpella :

-Hola veil homme que viens tu faire ici?

Fitz releva le visage vers le garde...Son Art s'enfla, son vif melé à lui, et il repondit d'une voix forte mais sans crier :

-Tu es Pelf, fils de Pelf de la garde du roi Subtil...Je me suis battu à ses cotés ontres les pirates rouges il y a bien des années, et je vois que son fils est resté dans la garde...Mais n'es tu pas capable de reconnaitre un Loinvoyant quand tu en vois un ?

Le garde s'approcha et devint d'une paleur mortelle...

-Mais,..Mais, Vous êtes mort, depusi des années, et plusieurs fois meme....

*Il partit en courant*

-Le batard au Vif, Le Batard Au Vif, Fuyez !!!

Fitz se tourna vers le deuxieme garde qui tremblait tellement que cela l'empechat de partir en hurlant et lui imposa le calme en utilisant son Art.

-Va annoncer ma venue au dirigeant de la forteresse, et discretement ! Je ne tiens pas à ce que tout le monde sache que je suis revenu ! Je l'attendrai au sommet de la tour Ouest, dans les jardins de la Reine.

Et il se dirigea a pas lents vers la cour des écuries, plus par reflexe même après les années, que par envie, et ce même si il savait que plus jamais il n'y trouverait Burrich. Il passa discretement par la cuisine et emprunta et des nombreux passages qu'Umbre lui avait appris il y a fort longtemps...

Se glissant furtivement telle une ombre parmi les ombres, l'Éxilé avança jusqu'à se trouver en face d'un garde. Sortit ainsi de nul part, il lui fit une belle frousse. Seriad lui envoya un sourire espiègle et s'inclina profondément et d'une pirouette, se releva, plongeant ses yeux d'aciers dans ceux du garde.

"Bien le bonjour garde de Cerf! Je souhaiterais mentretenir avec le roi des affaires de ma petite entreprise, si cela ne vous dérange point bien entendu. Et si par malheur cela venait à arriver, je ne suis pas sûr que vous pourriez me l'en empêcher."

Toujours aussi sûr de lui, il gardait son sourire provocant. Sa main droite s'était placé sur la garde de sa dague, prêt à en faire usage le plus rapidement possible, tandis que son autre main agrippai son ceinturon. Bien qu'il puisse paraître non-chalant, il était tout le contraire. Dague prête à être dégainer, il avait dans son autre main une poudre blanche comme la neige. Celle-ci, projeté au visage d'un homme, l'enverrait au tapis, étouffé et aveuglé.

[HRP: Si quelqu'un pouvait le jouer, je n'aime pas me répondre à moi-même ^^"]